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Écrire sur un cahier

Témoignages

Vous trouverez ici quelques témoignages de nos donateurs et de patients, de partenaires et d'employés.

Vous avez envie de livrer un témoignage, vous n'avez qu'à nous écrire à l'adresse

fondation-hjt.cnmtl@ssss.gouv.qc.ca

Un séjour en gérontopsychiatrie

« Je me suis retrouvée en gérontopsychiatrie et ce fut mon parcours le plus significatif et le plus gratifiant de ma vie en compagnie du personnel du 8e étage où j'ai reçu d'excellents soins presque personnalisés avec respect et chaleur humaine. Jamais je n'oublierai ce que j'ai vécu là l'hiver 2022. J'en suis sortie complètement guérie. Il est pour moi primordial d'offrir du temps à la Fondation de l'Hôpital Jean-Talon puisqu'elle est tout près de ma demeure et que la médecine fut toujours pour moi une bénédiction et ma préoccupation ayant une formation d'infirmière auxiliaire de deux ans et demi à mon actif.

Merci aux professionnels de la santé de cet hôpital. De tout coeur avec vous! »

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- Mme Jocelyne Mailloux

Un soutien exceptionnel dans les moments les plus difficiles : merci à l'équipe des soins palliatifs

Notre famille tient à remercier de tout cœur du temps et de l'attention accordés à notre être cher.

 

Merci mille fois à Dr Deguire, Dr Ballargeon, Dre Nguyen, aux infirmières, aux préposés aux bénéficiaires et toute l’équipe des soins palliatifs 5E.

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Nous avons pu trouver auprès de vous du réconfort pendant ces derniers moments difficiles vous avez fait un travail remarquable et exceptionnel à soutenir notre parent durant ces derniers jours. Nous avons senti chaque jour votre support tout au long de cette déchirante épreuve grâce à cela, vous nous avez inspiré de la confiance nous avons tous pu trouver un peu de calme et de la sérénité.

 

 Merci infiniment

Quand l'art réveille les âmes : une rencontre inoubliable à l'hôpital

Témoignage d'un artiste dans le cadre du programme de d'Art-Bienvaillants en Gérontopsychiatrie

 

C'était la plus belle de mes animations. Il y avait plusieurs personnes en fin de séjour, donc plus participatives. Et mon attitude était plus confiante aussi, moins timide. J'étais là pour leur partager mon univers. Une femme a été très émue, me disant que cette rencontre était la conclusion de son passage à l'hôpital, qu'elle prenait cela comme le signe de reconnecter avec sa sensibilité artistique. Un homme m'a longuement parlé d'un voyage de jeunesse à la Manic. Nous avons étudié ensemble l'architecture des maisons illustrées par Levi Pinfold et nous comprenions des choses sur les sources d'inspiration du dessinateur. Ils et elles ont bien reçu l'extrait de "Fantômes", je les ai invité.e.s à s'imaginer devoir tracer dans les airs un paysage qu'ils et elles aimaient. Ils et elles s'étonnaient de reconnaitre des choses à travers la danse des performeur.euse.s. J'étais au bon endroit.

L’hôpital Jean-Talon, c’est mon hôpital ! 

Dans le cadre du Programme québécois de dépistage du cancer du sein, les femmes âgées de 50 à 69 ans ont droit à une mammographie de dépistage gratuite aux deux ans. À l’hiver 2014, lorsque j’ai reçu ma lettre de rappel, j’ai l’ai mise de côté comme le font trop de femmes. C’est ma collègue et amie de longue date qui a pris un rendez-vous pour moi à mon insu... Heureusement car mon médecin de famille a dû m’annoncer que le résultat montrait des signes inquiétants. On m’a donc dirigée vers un spécialiste, le Dr Nagib Khoury, pour passer d’autres tests à l’Hôpital Jean-Talon. Tout s’est passé très rapidement, c’était le tourbillon ! Et quand la présence du cancer a été confirmée, le ciel m’est tombé sur la tête.

 

Je vais toujours me souvenir du jour où j’ai reçu le diagnostic de mon cancer du sein, stade 2. Le Dr Khoury me disait que le cancer avait été rapidement repéré et que, avec une prise en charge immédiate, mes chances de guérison étaient bonnes. Le choc m’empêchait de saisir clairement tout ce qu’il me disait, mais ses mots se faisaient rassurants.

 

Comme je suis responsable d’une résidence de type famille d’accueil pour adultes, mes pensées sont immédiatement allées vers mes pensionnaires et mes deux fils. Pour moi, et aussi pour eux, je devais me battre ! Et grâce au Dr Khoury, qui m’a aidée à bien comprendre toutes les étapes du traitement, j’avais un sentiment de calme au moment où j’ai annoncé la nouvelle à mes proches.

Cela ne m’a pas empêchée, lors de mon séjour à l’Hôpital Jean-Talon, en juin 2014,  de me sentir très vulnérable. Mais le personnel soignant était si efficace et attentionné que j’ai été vite rassurée. Ils m’ont tous aidée à passer au travers et chacun de leurs petits gestes m’apportait un grand réconfort.

 

Trois semaines après ma chirurgie, je suis partie en voyage de pêche. La réservation était faite depuis longtemps et je ne pouvais pas annuler. La première journée, la douleur était très présente, mais je me suis forcée à lancer ma ligne à l’eau malgré tout. Au fil des jours, la douleur s’estompait et mon bras devenait de plus en plus mobile. Ce voyage a donc servi à deux choses : me changer les idées et m’obliger à bouger pour retrouver ma mobilité rapidement !

 

Au retour, les traitements de chimiothérapie ont commencé. Je me souviens que la veille de ma première séance, bizarrement, j’ai dormi comme un bébé ! Je savais que ça allait être difficile, mais je savais aussi que ça allait m’aider et je me sentais en confiance. J’ai décidé d’être positive et, chaque semaine, du 7 juillet au 19 décembre, les infirmières, qui m’accueillaient toujours avec leur bonne humeur, m’ont aidée à passer à travers cette nouvelle épreuve ! L’eau gazéifiée et la lecture m’ont également beaucoup aidée!

 

Ma bataille n’est pas terminée, car je dois maintenant suivre un traitement quotidien d’hormonothérapie, et ce, pour plusieurs années, mais je me considère très chanceuse d’avoir été soignée par le personnel compétent et attentif de l’Hôpital Jean-Talon. Deux ans après la chirurgie, je vais mieux et je profite de chaque instant. L’an dernier, j’ai même séjourné en Provence, où je rêvais d’aller depuis longtemps ! Et le Dr Khoury, que je vois tous les quatre mois pour des suivis, continue de m’encourager à rester forte et positive !

 

Pour témoigner de ma reconnaissance à l’équipe médicale qui m’a prise en charge, je tiens à faire un geste concret afin que plus de patients aient la chance d’être soignés dans les meilleures conditions possibles. C’est pourquoi je donne chaque année à la Fondation HJT, qui œuvre à bonifier les soins et les services offerts à l’Hôpital Jean-Talon.

 

Contribuer à la qualité des soins qui y sont offerts est primordial à mes yeux. Je serai toujours reconnaissante envers les professionnels de la santé de mon hôpital et fière de les soutenir.

Merci de faire vous aussi un geste pour les milliers de patients traités et sauvés à l’Hôpital Jean-Talon. Vous et moi, nous en faisons partie. C’est notre hôpital communautaire et nous pouvons le soutenir, chacun dans la mesure de nos moyens.

 

Donnez dès aujourd’hui !

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Survivante d’un cancer du sein stade 2

Patiente de l’Hôpital Jean-Talon

Un accueil rassurant

« Plus jeune, j’étais plutôt téméraire. J’aimais bien tenter des cascades en planche à roulette, malgré les bons conseils de mon père. J’ai eu quelques fractures, qui ont toujours été traitées ici, à Jean-Talon. Les médecins m’ont toujours donné les précautions à prendre pour éviter de revenir avec des problèmes semblables.

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Une bonne fois, je me suis gravement blessé. Heureusement, un passant m’a aidé et a appelé l’ambulance pour me venir en aide. C’est de la bouche d’un médecin qui avait déjà traité d’autres de mes  fractures à Jean-Talon que j’ai appris que ma clavicule était brisée. Après une suite de radiographies, j’ai appris que la blessure était sévère, mais qu’heureusement, l’os était brisé de façon que ça n’allait pas nécessiter de manipulation supplémentaire pour la guérison. J’ai été très chanceux.

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Aujourd’hui, je remercie l’Hôpital Jean-Talon de m’avoir accueilli et traité comme un membre de la famille. Et aujourd’hui, j’enseigne à mes enfants à prendre plus de précautions!

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Merci à tous! »

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- Jonathan Daigneault

L’histoire de toute une vie!

« L’Hôpital Jean-Talon, c’est comme chez nous, ça fait partie de la famille! »

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C’est ce que Monsieur Pardo Bino a tenu à nous dire lors de sa visite à la Fondation. Il souhaitait faire un don à la mémoire de sa mère, pour qui l’Hôpital Jean-Talon était très important.

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Sa première visite remonte à aussi loin que 1966, alors qu’enfant, il s’était fait retirer une écharde à la « clinique du japonais », comme ils l’appelaient. C’était, en fait, l’Hôpital Jean-Talon, qui, à l’époque, ne comptait que 3 étages. Monsieur Bino n’exagère donc pas quand il dit qu’il a grandi avec l’Hôpital.

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Épiciers propriétaires d’origine italienne, les parents de Monsieur Bino ont vécu longtemps dans le quartier. Et quand est venu le temps pour Maria, la mère de Monsieur Bino, de recevoir des soins de fin de vie, c’était sans hésitation qu’elle voulait recevoir les soins à l’Hôpital Jean-Talon ou rien. Admise en février 2014 pour un cancer du cervelet, Madame Bino a vécu ses derniers mois de vie entourée de sa famille dans l’Hôpital qui a vu naître un de ses enfants.

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« Merci pour tout! »

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 - Pardo Bino

Un lieu de guérison  

Bonjour,

 

J’ai eu ma chimiothérapie à l'étage avec le Dr Khoury et son personnel extraordinaire. Je ne peux pas vous dire combien je suis heureuse des soins absolument fantastiques que j’ai reçus de toutes les personnes concernées depuis que tout a commencé en mai.

 

Dr Khoury a été là pour chaque visite de chimio, si positif et amical à l'hôpital avant et après mes deux interventions chirurgicales. J’ai été profondément impressionnée que lui et son personnel, Francine, Ghyslaine, Bernice, Anna et même le pharmacien, aient pris le temps de tout m’expliquer et de répondre à mes questions, même parfois par téléphone. À la radiologie et à l’urgence aussi, je m’attendais à ce que les employés soient hautement formés, mais la grande surprise a été la façon dont ils nous ont accompagnés, soins après soins, mon mari et moi, au cours d'une période très stressante. Cela fait une grande différence quand vous avez des préoccupations en tant que patient.

 

Ma dernière chimio était le 1er décembre et je suis très confiante de commencer ma nouvelle vie. Je tiens à vous remercier de tout cœur pour le traitement incroyable que j’ai reçu de tout le monde. Votre hôpital est un lieu de guérison où je ne me sens pas anxieuse. Au contraire, quand j’en franchis les portes, un sentiment de calme m’envahit et je me sens en paix.

  

Merci,

 

Sally Cory Okker

Une histoire de famille

Bonjour,

 

Ça fait maintenant 24 ans que je suis bénévole à la Fondation de l’Hôpital Jean-Talon. C’est aussi ici que je fais mon suivi médical. L’an dernier, j’ai eu des problèmes avec mon cœur et mes poumons et j’ai été hospitalisée du mois de décembre au mois d’avril. Passer Noël à l’hôpital n'est pas la meilleure chose qui puisse arriver, mais avec un peu de patience, tout fini par s’arranger. Ce qui m’a le plus aidé à passer à travers cette période difficile, c’est la gentillesse du personnel. On m’a fait rire, on m’a fait danser, et on m’a même dit : « laissez-la pas partir, c’est notre meilleure! ». Les gens ici prennent le temps de faire les choses, de les rendre plus faciles. Ils s'adaptent aux patients, même à ceux qui sont moins agréables. Pour avoir eu l’occasion d’être soignée ailleurs, je peux dire que c’est à l’Hôpital Jean-Talon que je me suis le mieux sentie. Presque comme à la maison. Ici, on sent que les gens sont à l’écoute, qu’ils connaissent leur travail et qu’ils n’y vont pas à reculons.

 

Je suis un peu inquiète pour mon cœur et pour mes bronches, mais je me sens en sécurité car mes médecins ne me lâchent pas d'une semelle. Si j’ai quelque chose qui ne va pas, c’est certain qu’ils s’en apercevront. Je suis chanceuse d'être si bien entourée et je ressens encore beaucoup de plaisir à discuter avec les gens et à passer du temps avec mes enfants, mes petits-enfants et mes arrières petits enfants.

 

Merci pour tout,

 

Gisèle Réhel-Thériault

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